Pour célébrer ce mois d’octobre, l’Équipe Communication met à l’honneur les étudiants de l’école pour la première fois au format portrait ! Aujourd’hui, nous vous (re-)présentons l’un de vos camarades : Pierre-Henri, étudiant en 5ème année chez Ostéobio.

Il ne vous aura pas échappé en lisant nos Newsletters que l’amour du sport fait partie intégrante de l’identité d’Ostéobio, de ses étudiants, mais aussi de l’équipe pédagogique. Parmi vous, certains sont engagés dans des compétitions départementales, régionales, nationales, et même internationales dans leur discipline sportive. C’est le cas de Pierre-Henri qui, à 24 ans est joueur professionnel de rugby au Stade Français. Voici son portrait :

Le profil d’un challenger 

Né en 1998 à Nîmes, Pierre-Henri est un homme de défi !

“Depuis que je suis tout petit, je suis sportif et j’ai toujours aimé me dépasser. Au départ j’ai eu du mal à trouver le sport que j’aime mais un copain m’a fait découvrir le rugby.”

De défi oui, mais aussi de voyage. Pierre-Henri a vécu aussi bien en France qu’en Égypte ou qu’en Corée du Sud ! Puis, une fois de retour en France, il rentrera au pôle espoir dès le lycée. C’est là qu’il se dit “que le rugby n’allait pas lui durer toute la vie.” 

Il pense alors à devenir kinésithérapeute, fait 2 ans de STAPS mais manque la passerelle et se trouve vers l’ostéopathie grâce aux conseils de ses amis sportifs de haut niveau. Pierre-Henri rentre alors chez Ostéobio et se forme à la bio-mécanique tout en poursuivant son parcours sportif au plus haut niveau.

“Faire des études chez Ostéobio ça me permet de concilier tout ce que je subis au rugby avec mes études. Je vais apprendre à prévenir les blessures, à mieux récupérer et surtout comment guérir en cas de blessures.”

Concilier études et passion, un défi de champion !

Pour Pierre-Henri, les priorités sont claires : le rugby prime. Avec de lourds entraînements les lundis, mardis et jeudis de chaque semaine, difficile de suivre les cours ! Ses mercredis sont “off”, l’occasion pour lui de se rendre à l’école, et le vendredi est réservé à davantage d’entraînement et aux déplacements pour les compétitions du week-end.

La saison dernière ayant été particulièrement intense, on peut comprendre qu’un tel emploi du temps peu s’avérer exténuant. Heureusement, pas de grosses blessures en 2022, on croise les doigts pour 2023 !

Mais concrètement, comment peux-tu tout faire à la fois ?

“D’abord, le stade français est au courant que je continue mes études, et il me soutient dans ma démarche. De l’autre côté, Ostéobio se montre très compréhensif. Je peux modifier mes horaires en fonction des entraînements et compétitions, changer de groupe de travail si besoin. Il me suffit de communiquer avec les enseignants.”

 Et il trouve encore le temps de se mettre à la guitare !

Alors, c’est quoi la suite ? 

Les objectifs de Pierre-Henri sont ambitieux, il rêve d’être sur le terrain pour la coupe du monde 2023. Il a déjà représenté la France à deux reprises face aux Wallabies australiens l’année dernière. 2023, c’est aussi l’année de l’obtention de son diplôme d’ostéopathe, les deux sont importants ! On lui souhaite toute la réussite !

D’ici 10 ans, Pierre-Henri ne pense plus jouer en tant que professionnel. Sans doute sera-t-il ostéopathe libéral dans le Sud-Ouest, nous confie-t-il, et pas seulement pour le rugby ! C’est une région qu’il apprécie particulièrement, et on le comprend !

Merci beaucoup Pierre-Henri, un petit message de fin d’interview ?

"Longue vie à Ostéobio, et bienvenue aux nouveaux étudiants !”

 

Plus d'infos sur Pierre-henri 👇

Pauline Lecourt, ostéopathe à Grenoble (38) diplômée en 2014

Je suis fière de l’enseignement rationnel de qualité que j’ai reçu. Le métier d’ostéopathe m’a été transmis avec passion et aujourd’hui c’est avec assurance que j’assure la prise en charge de mes patients.

Julien Figved, ostéopathe à La Celle-Saint-Cloud (78) diplômé en 2012

Les compétences professionnelles acquises lors de ma formation à Ostéobio me permettent de savoir où me situer dans le parcours de soin dans le cadre d’une prise en charge, notamment pluridisciplinaire, de la pathologie fonctionnelle. Cette formation de qualité m’offre la possibilité de travailler en collaboration avec plusieurs professionnels de santé (médecin généraliste, du sport, neurologue, orthophoniste, podologues…).

Hélène Medinger, ostéopathe exerçant au sein de 2 teams moto, diplômée en 2013

Ostéobio est une école novatrice tant dans sa vision de prise en charge des patients que dans l’enseignement délivré. Je soulignerais également l’importance des stages et la pratique terrain omniprésente dans le cursus.

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