Rencontrer Pierre, vingt-trois ans, étudiant en quatrième année d’ostéopathie, c’est découvrir un passionné.

Pierre habite Issy-les-Moulineaux dans le quatre-vingt-douze. Son parcours scolaire a été chaotique, avec trois années de terminale avant d’accrocher sur la fin. Mais il a toujours été passionné par le bien-être, la santé et le sport. Il avait pensé à deux métiers : kiné et ostéo, mais sans connaître la différence entre les deux. C’est en discutant avec un ami de lycée en cinquième année d’ostéopathie qu’il découvre les spécificités de cette profession. Depuis, il ne cesse d’approfondir ses connaissances en la matière.

Lorsque nous lui avons demandé ce qui le passionnait dans l’ostéopathie, Pierre a évoqué plusieurs points.

Tout d’abord, l’approche sociale avec le patient, où il est possible d’accompagner une personne dans son bien-être émotionnel et physique, ainsi que dans sa santé en général. Il y a aussi le côté manuel de la profession, qui permet de travailler avec les mains et d’appréhender la notion de corps humain. Enfin, la biomécanique, les muscles et la structure du corps sont autant de points qui passionnent notre étudiant.

À la question de savoir ce qu’il préfère dans son métier

Pierre a d’abord évoqué la prise en charge des sportifs, qu’il connaît bien pour pratiquer lui-même cette activité. Mais peu à peu, il se découvre une passion pour la prise en charge en pédiatrie. Il aime donner des conseils aux parents et s’occuper des nourrissons et des enfants.

Lorsqu’on aborde la question de son avenir professionnel

Pierre se montre encore ouvert. Il n’a pas encore de préférence quant à la patientèle : sportifs, seniors ou jeunes, tout l’intéresse. Il pense peut-être s’installer en province, avoir de l’espace et un terrain pour pouvoir exercer au mieux. Il envisage également de suivre une formation de préparateur physique pour accompagner les patients dans leur pratique sportive.

Enfin, à la question de savoir s’il préfère travailler en libéral ou en équipe

Pierre est catégorique : la collaboration est primordiale pour accompagner les patients au mieux. S’il opte pour un cabinet libéral, il ne serait pas contre l’idée de travailler au sein d’une structure sportive ou associative, voire de consacrer une journée par semaine à des endroits où les gens n’ont pas forcément les moyens de profiter de l’ostéopathie. Il souhaite avant tout être un ostéopathe qui accompagne ses patients avec professionnalisme et sincérité.

Pauline Lecourt, ostéopathe à Grenoble (38) diplômée en 2014

Je suis fière de l’enseignement rationnel de qualité que j’ai reçu. Le métier d’ostéopathe m’a été transmis avec passion et aujourd’hui c’est avec assurance que j’assure la prise en charge de mes patients.

Lélia Ferbus, ostéopathe à Ecueillé (36) diplômée en 2016

Un grand merci à Ostéobio de m’avoir permis de devenir une ostéopathe qualifiée. La qualité de l’enseignement ainsi que l’expérience obtenue grâce au projet professionnel effectué sous la tutelle d’un ostéopathe aguerri m’ont permis de m’installer sans soucis majeur et d’être reconnue par les patients et les médecins généralistes des alentours. Ces derniers orientent d’ailleurs leurs malades vers moi. En six mois de temps, ma patientèle s’élargit régulièrement, atteignant la fourchette de 20 à 25 personnes par semaine, et elle continue de s’accroître. Les retours que j’ai pu recevoir de la part de professionnels du monde médical ou autre ne sont que positifs.

Hélène Medinger, ostéopathe exerçant au sein de 2 teams moto, diplômée en 2013

Ostéobio est une école novatrice tant dans sa vision de prise en charge des patients que dans l’enseignement délivré. Je soulignerais également l’importance des stages et la pratique terrain omniprésente dans le cursus.

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