Quel est le lien entre l’ostéopathe et son patient ?

Le métier d’ostéopathe à un grand intérêt aujourd’hui au vu de la complexité du système de
santé actuel. En effet, c’est parfois long d’obtenir un diagnostic et encore plus long d’obtenir
une prise en charge avec des effets thérapeutiques.
La profession d’ostéopathe est une profession de première intention. Cela veut dire que
l’ostéopathe possède les compétences professionnelles pour proposer un diagnostic
fonctionnel et coordonner une prise en charge exclusivement manuelle ou pluri-professionnelle.

Que signifie la prise en charge exclusivement manuelle ?

Les actes de thérapie manuelle (actes articulaires, musculosquelettiques, viscéraux...) sont
réalisés pendant le temps de la consultation ce qui permet d’évaluer les effets
thérapeutiques attendus... c’est presque du direct contrairement à d’autres acteurs de santé
qui posent un diagnostic, prescrivent un traitement qui sera appliqué à distance de la
consultation. Être ostéopathie, c’est une vraie opportunité pour toutes les personnes qui souhaitent travailler au contact direct de leur patient.

Quelles sont les thérapies utilisées en ostéopathie ?

Le métier d’ostéopathe biomécanicien consiste à utiliser des actes de thérapie manuelle
efficaces sur les indicateurs de la maladie (douleurs + signes fonctionnels associés). Ces
actes sont reconnus efficaces par la littérature, ce qui justifie des prises en charges
symptomatiques.
“Exclusivement manuelle” signifie produire des actes de thérapie manuelle qui ne sont pas
assistés d’outils. Le choix des actes est défini en amont par un diagnostic du trouble
fonctionnel chez le patient.
Chez Ostéobio nous apprenons le métier d’ostéopathe grâce à une formation académique
orientée vers les enseignements théoriques et scientifiques, permettant ainsi un apprentissage réussi des gestes techniques (cours de pratique et stage en cliniques).

Est-ce que l'ostéopathie peut prendre en charge 100% des pathologies ?

Le champ de compétences de l’ostéopathie rassemble les affections fonctionnelles de
l’appareil locomoteur, de l’appareil digestif et du crâne, du nourrisson à la personne âgée en
en dehors des pathologies infectieuses, tumorales et post-traumatiques graves.
La formation à Ostéobio s’efforce d’apprendre à ses étudiants à réaliser une expertise
clinique de l’état de santé des patients, et de proposer la prise en charge la plus adaptée à
la situation. Il peut s’agir d’une prise en charge purement ostéopathique, d’une prise en
charge collaborative (ostéopathe + autres professionnels de santé), ou encore orienter le
patient vers une prise en charge médicale exclusive, lorsque la situation échappe aux
compétences de l’ostéopathie.
Pour résumer, je dirais que le métier d’ostéopathe est basé sur le touché du patient. C’est un
métier moderne qui a su utiliser le savoir faire ancestral de la thérapie manuelle et justifier
sa légitimité grâce aux neurosciences.

Julien Figved, ostéopathe à La Celle-Saint-Cloud (78) diplômé en 2012

Les compétences professionnelles acquises lors de ma formation à Ostéobio me permettent de savoir où me situer dans le parcours de soin dans le cadre d’une prise en charge, notamment pluridisciplinaire, de la pathologie fonctionnelle. Cette formation de qualité m’offre la possibilité de travailler en collaboration avec plusieurs professionnels de santé (médecin généraliste, du sport, neurologue, orthophoniste, podologues…).

Hélène Medinger, ostéopathe exerçant au sein de 2 teams moto, diplômée en 2013

Ostéobio est une école novatrice tant dans sa vision de prise en charge des patients que dans l’enseignement délivré. Je soulignerais également l’importance des stages et la pratique terrain omniprésente dans le cursus.

Lélia Ferbus, ostéopathe à Ecueillé (36) diplômée en 2016

Un grand merci à Ostéobio de m’avoir permis de devenir une ostéopathe qualifiée. La qualité de l’enseignement ainsi que l’expérience obtenue grâce au projet professionnel effectué sous la tutelle d’un ostéopathe aguerri m’ont permis de m’installer sans soucis majeur et d’être reconnue par les patients et les médecins généralistes des alentours. Ces derniers orientent d’ailleurs leurs malades vers moi. En six mois de temps, ma patientèle s’élargit régulièrement, atteignant la fourchette de 20 à 25 personnes par semaine, et elle continue de s’accroître. Les retours que j’ai pu recevoir de la part de professionnels du monde médical ou autre ne sont que positifs.

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