Pour ce neuvième OSTEOMag, l’équipe d’Ostéobio TV s’est rendue à Bruxelles à l’occasion du premier congrès universitaire européen d’ostéopathie qui avait pour thème le rachis cervical.

- Rencontre avec Pierre-Michel Dugailly, directeur du département d’enseignement en sciences de l’ostéopathie et responsable de l’unité de recherche en ostéopathie à la Faculté des Sciences de la Motricité (FSM) de l’Université Libre de Bruxelles (l’ULB).

- Découvrez la formation pratique clinique Ostéobio avec un reportage au Centre Hospitalier Intercommunal de Villeneuve Saint Georges, dans le Val de Marne.

- Et enfin, Alice et Nicolas nous rappellent combien les idées reçues autour du rachis cervical sont encore tenaces.

Jean-Baptiste Fuster, Première année à Ostéobio et sportif de haut niveau

J’ai choisi Ostéobio car l’école me suit dans mon projet de sportif de haut niveau, ce que peu de structures font. Au sein d’Ostéobio, les notions de performance et d’efficacité sont prépondérantes. Envisageant une carrière dans le milieu du rugby, l’école nous fait bénéficier de nombreux stages dans le milieu sportif ce qui nous permet de nous familiariser avec des conditions de pratiques professionnelles en dehors d’un cabinet. De plus il existe un vrai apprentissage de la biomécanique qui est mis en avant et la possibilité de pouvoir effectuer un projet professionnel en 4ème année nous offre une véritable autonomie.

Pauline Lecourt, ostéopathe à Grenoble (38) diplômée en 2014

Je suis fière de l’enseignement rationnel de qualité que j’ai reçu. Le métier d’ostéopathe m’a été transmis avec passion et aujourd’hui c’est avec assurance que j’assure la prise en charge de mes patients.

Lélia Ferbus, ostéopathe à Ecueillé (36) diplômée en 2016

Un grand merci à Ostéobio de m’avoir permis de devenir une ostéopathe qualifiée. La qualité de l’enseignement ainsi que l’expérience obtenue grâce au projet professionnel effectué sous la tutelle d’un ostéopathe aguerri m’ont permis de m’installer sans soucis majeur et d’être reconnue par les patients et les médecins généralistes des alentours. Ces derniers orientent d’ailleurs leurs malades vers moi. En six mois de temps, ma patientèle s’élargit régulièrement, atteignant la fourchette de 20 à 25 personnes par semaine, et elle continue de s’accroître. Les retours que j’ai pu recevoir de la part de professionnels du monde médical ou autre ne sont que positifs.

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