11ème édition du journal d'information d'Ostéobio.

La finalisation des décrets sur la formation en ostéopathie suscite beaucoup de questions quant à l'avenir de la profession. Notre invité, Maître Collart, avocat spécialiste en droit de la santé, explique en détail:
* l'agrément des écoles et le titre RNCP
* l'intérêt du titre RNCP et sa reconnaissance par l'Etat
* la mobilité internationale et les crédits ECTS
* la correspondance entre RNCP de niveau 1 et Master

Et enfin, la Revue des Médias revient sur la signification des Masters en ostéopathie et salue la clarté du Registre des Ostéopathes de France au sujet du titre RNCP.

Pauline Lecourt, ostéopathe à Grenoble (38) diplômée en 2014

Je suis fière de l’enseignement rationnel de qualité que j’ai reçu. Le métier d’ostéopathe m’a été transmis avec passion et aujourd’hui c’est avec assurance que j’assure la prise en charge de mes patients.

Jean-Baptiste Fuster, Première année à Ostéobio et sportif de haut niveau

J’ai choisi Ostéobio car l’école me suit dans mon projet de sportif de haut niveau, ce que peu de structures font. Au sein d’Ostéobio, les notions de performance et d’efficacité sont prépondérantes. Envisageant une carrière dans le milieu du rugby, l’école nous fait bénéficier de nombreux stages dans le milieu sportif ce qui nous permet de nous familiariser avec des conditions de pratiques professionnelles en dehors d’un cabinet. De plus il existe un vrai apprentissage de la biomécanique qui est mis en avant et la possibilité de pouvoir effectuer un projet professionnel en 4ème année nous offre une véritable autonomie.

Lélia Ferbus, ostéopathe à Ecueillé (36) diplômée en 2016

Un grand merci à Ostéobio de m’avoir permis de devenir une ostéopathe qualifiée. La qualité de l’enseignement ainsi que l’expérience obtenue grâce au projet professionnel effectué sous la tutelle d’un ostéopathe aguerri m’ont permis de m’installer sans soucis majeur et d’être reconnue par les patients et les médecins généralistes des alentours. Ces derniers orientent d’ailleurs leurs malades vers moi. En six mois de temps, ma patientèle s’élargit régulièrement, atteignant la fourchette de 20 à 25 personnes par semaine, et elle continue de s’accroître. Les retours que j’ai pu recevoir de la part de professionnels du monde médical ou autre ne sont que positifs.

Rejoignez-nous

715

1,6 K

1105

46,2K
vues/mois